• B. A. R. B.

    Et bien, détrompez-vous mes chers amis, rien n'est moins barbant, que ce que j'ai pu vivre durant ces quinze derniers jours.

    Quatre concerts pour découvrir et redécouvrir un Bénabar, un Jean-Louis Aubert, un Raphael et un Louis Bertignac.
    Quatre concerts pour vivre et revivre des émotions fortes.

    Certains m'ont plus impressionner que d'autres, mais les sensations étaient toujours au rendez-vous.

    Raphael - 26 juillet 2006 - Ile du Gaou (Six-Fours) - Temps ensoleillé - 38°C

    Les corps dégoulinaient, suaient sous ce soleil de plombs, dans cette atmopshère de secheresse. Les coups de soleil, apparaissaient sur les visages les plus fragiles.
    Mais concert, qui s'annonçait sous les meilleures hospices, surtout à l'écoute des balances avec Libre Service et Cela nous aurait suffit.
    Première partie: Makali
    Très bon petit groupe de scène, qui décroche pas mal d'applaudissements. J'ai bien aimé leur musique. Puis coup de coeur pour le bassiste. La basse fait toujours son effet: on n'y peut rien.
    Puis arrivée de cher Raphael, guitare éléctrique en main, sur Funambule. C'est vraiment le moment, qui me fout la chair de poule, à chaque fois: c'est puissant! Pas de paroles, juste de la musique.
    Set-list habituelle, mais qui procure toujours autant de plaisir, même si j'aimerai des petites nouveautés, qui ferait de chaque concert un moment unique.
    Caravane: toujours aussi belle, Petite Annonce: toujours aussi bien interpretée...

    Le mot de la fin: Très bon concert, je ne me lasserai pas de voir Raphael, mais je pense qu'il est fait pour les petites salles et non les grandes scènes, comme celle-là, parce que l'intimité de ses chansons se ressent beaucoup moins.

     


    Benabar - 28 juillet 2006 - Ile du Gaou (Six-Fours) - Temps nuageux - 30°C

    Un nouveau public se dessinait aux barrières, ce n'était plus des filles en pagailles, qui au mieux avait ramené leur copain, mais c'était des gens de tout âge, de tout sexe: des gens d'horizons différents. Plus de "Alala Raphael: il est trop beau": ouf!!
    Premières parties: Etienne&Moi et Davy Sicard
    J'ai bien aimé Etienne&Moi, même si, apparement le public n'était pas dans le même état d'esprit, que moi. Dommage, qu'ils ne se soient pas plutôt exprimés: les gens auraient sans doute prêté beaucoup plus d'attention.
    Par contre Davy Sicard, je crois, qu'il a fait l'unanimité. Pourtant, quand je l'ai vu arrivé avec son Djembé, je ne pensais pas qu'il mettrait autant le feu sur l'île! Il a un charisme impressionant sur scène; il fait participer le public à coup de chant créole et de vague sonore. J'aurais eu à le voir pendant une heure et demi, que ça ne m'aurait pas derangé.
    Faut aussi, que je salue le numero de cirque de diabolo puis de yoyo d'un jeune asiatique, dont je ne me souviens plus du nom! Mais c'était impressionant!
    Ensuite, ce fut la grande surprise de l'été, même si je m'y attendais un peu! Si vous lisez quelque part "Benabar c'est inécoutable, mais géantissime en concert": Croyez-y, même si je ne suis pas d'accord avec la première partie de la phrase.
    Il est vraiment impressionant sur scène: un chef d'orchestre chanteur, avec un soupçon d'humoriste. Vous voyez un peu le genre? Je ne suis pas sure que vous me comprendrez, tant que vous ne l'avez pas vu de vos propres yeux. C'est un phénomère à lui tout seul! En deux temps trois mouvements: il vous fait passé du sourire étendu de part et d'autre des oreilles, aux frissons. Ce qu'il dit est tellement vrai et dit avec tellement de justesse qu'on est obligé d'en sourire ou d'en pleurer (même si je n'ai pas eu ma larme ce soir là).

    Le mot de la fin: N'hésitez pas une seconde à aller le voir, vous ne serez vraiment mais vraiment pas déçu!

     



    Jean-Louis Aubert - 03 août 2006 - Le Lavandou - Temps venteux - 30°C/20°C

    Seule, c'est triste à dire, mais personne ne voulu m'accompagner en cet après-midi. Mais, je n'allais pas me laisser abattre par la solitude. De toute façon c'était impossible: plus de deux heures sans parler: je ne sais pas si je connais. Puis au long des concerts, dans une même region on revoit des têtes, qu'on connait.
    L'attente fut longue dans les derniers moments, car ambiance tendue. Pourtant elle avait bien commencé. A l'image de Raphael, on a eu droit à l'écoute de balances inédites, comme One de U2: il devrait l'a chanter parce qu'elle rend vraiment bien. Mais l'atmosphère fut tendue: la peur d'un concert annulé au dernier moment, car 21h30: début annoncé du concert et 21h20, public toujours dehors à attendre qu'on ouvre les barrières.
    Mais ce ne fut, qu'une frayeur, car Jean-Louis arriva cheveux au vent, sur Parle-moi. Quand on dit, qu'un chanteur est dans le vent, c'est que soit il est super à la mode, soit il est, à la manière de Jean-Pierre François, face à un ventilateur. Mais là, ce fut du 100% naturel, du 100% mistral.
    C'était vraiment bien de pouvoir le voir, dans un endroit plus petit, que le Zenith. C'est vraiment pas la même chose, une grande salle et une petite: c'est pas du tout le même rapport au public, et le public n'est d'ailleurs pas pareil selon la taille de la salle! C'est pour ça, que c'est bien de varier les plaisirs. Réentendre du Téléphone, franchement je ne m'en lasse pas: c'est vraiment un des seuls groupes mythiques en France. Téléphone: on a écouté, on écoute, et on écoutera. C'est universel.

    Le mot de la fin: Y a t-il vraiment un mot de fin à mettre ici? Non j'ai déja tout dis!

     

    Louis Bertignac - 08 août 2006 - Bandol - Temps nuageux - 26°C

    Toujours seule, desespérement seule. Certaines ont preferé allez voir Mick Jagger and co à Nice. Et ce jour là, j'aurais vraiment aimé avoir mesdames Claudine et Cathy à mes côtés, pour pas avoir l'air trop bête, quand un souvenirs me passait par la tête: car le souvenirs montait vite aux lèvres! Et rire seule, c'est terriblement frustrant. Mais bon, heureusement il y eu sms et mms, pour rattraper un peu le coup.

    Ce concert m'a appris aussi, que le monde est terriblement petit. Quelqu'un qui a pratiquement fait tous les mêmes concerts que soit: c'est vraiment bizarre. Mais au moins, à papoter, le temps est passé assez vite. Temps, qui est passé aussi vite grâce, premièrement à un petit bavardage avec les vigiles, et deuxièmement grâce aux balances. Cela change un peu, et d'ailleurs les artistes ne sont pas du tout les mêmes, que sur scène: beaucoup plus reservés.

    Le concert à enfin commencé à la tombée de la nuit. Y avait vraiment du monde: je m'attendais pas à autant de monde. Y avait des gens de partout, le port de Bandol s'est transformé en marée humaine. Faut dire, qu'un concert comme cela, c'est a voir. Du rock'n roll pendant plus de deux heures: Wahooo!! Que du bonheur d'entendre et réentendre Les Beatles, Les Stones, Led Zepplin...!! Je m'en lasse décidement pas!

    Le mot de la fin: On a vraiment eu le droit à un moment musical énorme! C'était pas un concert où tout est prévu à l'avance, il a pris une allure de totale impro: un vrai concert!!! Le public était conquis, il en redemandait et pourtant, je ne suis pas sure, que c'était gagné d'avance. En plus, Louis Bertignac est vachement accessible, il est vachement à l'écoute de son public, et ça: ça fait énormement!

     

     

    Je voudrais saluer ceux, qui sont souvent oubliés, mais que j'ai appris de plus en plus à aimer, grâce à Clo, faut dire! Ce sont les musiciens. Ils étaient tous génialissimes, chacun dans leurs genres, chacun avec leur instrument. Je tiens surtout à citer Oli le Baron, Richard Kolinka, Thomas Semence, Alain Verderosa, Cyril Denis, Hervé Koster, Mathieu Rabate et tous les autres avec un petit coup de coeur pour l'ensemble des musiciens de Benabar, lorsqu'ils entament leurs petites danses. Sans eux le concert ne serait vraiment pas le même. Un chanteur seul sur scène: ça n'a aucun intérêt! La musique en concert, c'est avec des instruments et non une bande sonore, trafiquées, arrangées...

     

    Les quelques autres photos:

    Raphael

    Jean-Louis Aubert

    Louis Bertignac


    3 commentaires
  •  

    Alalala!! Même en écrivant ces sept lettres, j'ai déja le sourire aux lèvres. Alalala!! J'ai même envie de le redire. Je pense, que beaucoup seront ceux, qui liront cet article et qui seront déja au courant de mon aventure, peut-être pas dans tous les détails, parce que je garde une petite partie pour moi, mais seront au courant d'une bonne partie de l'histoire.

    Déja, je tiens à dire: un grand Merci à Claudine!! Sans elle.... Je n'aurais pas ce sourire omniprésent sur les lèvres. Alalala!! (encore lui!!!) Claudiiine!!! Enfin...

    Que d'émotions ce week-end!!! Dimanche avec Johnny, samedi avec Marc!!! C'est dur de s'en remettre!!! Cela fait un peu groupie....j'avoue mais bon...

    Enfin, commençons pas le commencement avant de m'emballer.

    Deux jours avant:c'est sur Clo et Mado vont aller, ensemble, voir Marc Lavoine à Solliès-Pont. Mado était ravie, même si Marc n'était le chanteur, qu'elle préférait, rien ne vaut un concert pour aimer un artiste.
    Mais comment Mado, aurait pu s'imaginer vivre un tel moment? (Ne vous imquiétez pas, j'arrête dans mes délires "Alain Delon", je ne parle plus à la troisième personne!!!) Comment aurais-je pu imaginer, que moi j'allais vivre ça? Et pourtant mon inconscient devait le savoir, alors que je prononça cette phrase lors de cette attente devant les barrières, le regard porté vers les gradins: "ça doit vraiment être bizarre comme sensations d'être sur scène, devant du monde, comme ça!" C'était la réflexion philosophique de la soirée! Parce qu'après, je n'étais plus en mesure de refléchir.

    Le concert commence; enfin Marc Lavoine arrive sur Je me sens si seul, lunettes noir, veste noir: "C'est vrai, je fume trop, C'est vrai, que je bois trop...", puis entame un petit déshabillement... dans la limite du raisonnable...je vous vois venir. Raaaa.... Et là, je peux vous le confirmer: Marc Lavoine est....comment dire....Sex....et pourtant, ce n'est pas ce que je disais avant.

    Ce fut un concert génial. On a dansé, chanté comme des petites folles. Attendez comme ne pas sentir la vibe, à l'écoute comme Le parking des anges, Pour une biguine avec toi, ou Les tournesols... Alalala!!! Et ce Toi, mon Amour, ce "Elle a les yeux revolvers, elle a le regard, qui tue..." Une voix, comme la sienne...ça entraîne...!!!

    Mais je crois, que la chanson capitale de la soirée fut Je ne veux qu'elle. Vous savez...le duo avec Claire Keim. Mais Claire Keim n'était pas la!! Et qui était censée chanté à sa place?...MOI!!

    Mais comment voulez-vous chanté quoique ce soit sans un minimum de préparation mentale? It's impossible!! Surtout quand on chante aussi mal, que moi.
    Parce que, pour ne pas avoir été préparé à cette éventualité, je n'ai vraiment pas été préparé. Toute innocente, contre ma barrière, à côté de ma chère Clo, voyant tout d'un coup des bras se lever, des voix s'écriées; j'ai eu le temps de voir un doigt, du haut de la scène, se diriger vers moi, que j'étais déja projetté sous les feux des projecteurs. J'ai mis quelques secondes avant de comprendre ce qui m'arrivait. Je me suis retrouvée, assise, dans ses bras. Retrouvant plus ou moins vite mes esprits, j'ai eu le temps de lui glisser un "je ne sais pas chanter" et ce cher Marc à chanter à ma place! OUF!!! Il me suffisait de ne pas avoir l'air trop niaise, d'arriver à le regarder dans les yeux, et de ne pas défaillir à ses quelques bisous sur la joue ou carresses dans le cou. Pour défaillir, pas assez folle de lui, mais je n'ai pas pu échapper au regard "d'admiration-niaise" et au sourire "Colgate", malheureusement. Mais je défis quiconque de le regarder dans les yeux sans ce regard "d'admiration niaise" et ce sourire "Colgate". Parce que QUELS YEUX!! Hein Clo: ce petit regard du début ne t'a pas laissé indifférente!?

    "Tes yeux sont si profonds qu'en me penchant pour boire
    J'ai vu tous les soleils y venir se mirer
    S'y jeter à mourir tous les deseperés
    Tes yeux sont s'y profonds que j'y perds la mémoire"

    Louis Aragon.

    Un peu de culture tout de même.

    Après ce moment, atemporel et inimaginable, le concert repris son cours normal. Au bout de trois ou quatre chansons, le mec de ma projetée sous les feux de la rampe, vint me demander de confirmer cette projetée. Puis M.Lavoine me tendit sa serviette. Alalala!!! Puis il fallu s'en aller, après une bise final de la main, des étoiles pleins les yeux, pleins les oreilles, plein la tête et plein le coeur.

    Alalala que de péripéties!! A nous deux Claudine (Charlotte pour ceux, qui n'auront toujours pas compris),...., après G.M., C.V. et M.L., c'est qui le prochain...???

    Je vous mets les quelques fotos, que j'ai: qualité portable, mais ça fait toujours plaisir quelques souvenirs. Merci à celle, qui les a prise.

                                                         

     

                                           

     

                                           

     


    2 commentaires
  •  

    Comment perdre trois kilos en quelques heures??

    Prendre une voiture non climatisée, en pleins mois de juillet, aller à Marseille, ville en alerte Canicule, se perdre dans la ville, trouver une place de parking à température ambiante de 50°C, faire presqu'un tour entier du Stade Vélodrome, y rentrer, s'exposer au soleil marseillais pendant une à deux heures environs, puis enfin danser, chanter, acclamer un Johnny Hallyday en grande forme, parmi un foule en liesse de 50 000 personnes.

    C'est tout simple mais il faut y penser.

    Qu'est-ce qu'il a fait chaud!!! Mais on viendrait presque à l'oublier, quand on assiste à un concert pareil. Même si Johnny nous apparait comme un Playmobil, c'est carrément génial!

    Quelle ambiance!!! Une Ola, qui fait une bonne dizaine de tours!!! Des gens, qui crient, chantent!! "Que je t'aime, Que je t'aime, Que je t'aime, Que je t'aime!!!", repris par tout un public: cela donne des frissons!! Ou quand sur "Mourir d'amour, enchaîné", 50 000 personnes lèvent les bras dans un même élan!!! Puis quand seulement des applaudissements (pas un seul cri) viennent rendre hommage à Michel Berger et Raymond Devos: ça fait chaud coeur!!!

    C'est vraiment un concert, qu'il faut vivre, quelque soit l'âge qu'on a, qu'elle que soit la musique qu'on aime!!!

    Mais prevoyez de boire un Coca-Cola, pleins de glaçons et avec une rondelle de citron, à la sortie!! Vous verrez vous me remercierez!! Et oui c'est l'expèrience qui parle!! Hein, mes chers compatriotes!!!



    4 commentaires
  •  

    Voici...seule distraction d'un avant-concert, lorsqu'on est assis, misérablement, sur la parvis de la cathédrale toulonnaise de la chanson: le Zénith Oméga. Et quand on a parcouru les potins, que reste-il à faire avec ce magasine? Les mots fléchés pardis.
    Faire des mots fléchés, je vous le garantis, occupe un temps fou: les heures passent au galop.

    Nous voilà, donc, parti pour un compte rendu tout en flèches.

    Mot en 8 lettres: Ce que l'on éprouve.

    Que de sensations, lorsqu'on aperçoit, sur un air de Rimbaud, parmi la foule, au loin, un Jean-Louis Aubert, guitare à la main, d'un bonnet coiffé.
    Que de sensations, lorsqu'un un public, dans une ambiance bleutée, acclame son héros.

    Mot en 5 lettres: Projectile explosif.

    Arrivée fracassante sur scène: une véritable bombe humaine. Une explosion dans les ténèbres. Un public en liesse. Que vouloir de plus.

    Mot en 8 lettres: Nombre de mille.

    Etions-nous des milliers, des millions, des milliards?
    Seulement des milliers, mais tous là, à reprendre les chansons en choeur, face à un homme déchaîné, qui demande qu'on lui parle. Et nous étions, en effet, des milliers à lui répondre, dans un même élan.

    Mot en 9 lettres: Outil de communication.

    Le téléphone était là, toujours pas déccroché, mais le répondeur était en marche.
    Que du plaisir, face à un New-York avec toi, face à un Crache ton venin, face à un Jour s'est levé et surtout face à Un autre monde. Frissons garantis.

    Mot de 9 lettres: Morceaux de musique incontournables.

    Que de standards, idéal.
    Comment ne pas danser et chanter avec de pareilles chansons: un Sur la Route entraînant, et un Temps à nouveau fracassant.

    Mot de 7 lettres: Qui fait de la musique.

    Nous ne pouvons oublier ces talentueux musiciens. Nous avions une belle palette: dégentés, transcendés...

    Mot de 4 lettres: Au commencement de.

    Mot de 3 lettres: Pèriode.

    Mot de 3 lettres: Zone.

    Jean-Louis Aubert n'est plus à l'aube de la gloire, mais il lui reste des ères et aires de succès.


    D'autres photos: http://hacunamatata.myblog.fr/Jean-Louis-Aubert_alb36362.html: y en a pas beaucoup et elles sont pas de supers qualités à cause d'un certain vigile....

     


    votre commentaire
  • Ce fut un samedi très chaud du mois de mai, lorsque Coralie, Raphaelle et Moi, nous sommes allées à Aix en Provence assister au concert de La Grande Sophie.

    Un concert, comme il m'arrive souvent d'en voir: c'est-à-dire, un concert dont je ne connais pas très bien l'artiste. En effet, je ne connaissais pas bien ses chansons. Je connaissais les plus connues comme Du Courage ou encore La Suite et quelques unes en plus, qui m'avaient donné envie de la découvrir encore plus. Et donc pourquoi pas sur scène directement.

    Nous sommes arrivées tôt comme d'habitude, par ma faute, car ce fut effectivement légèrement trop tôt. Nous avons donc dû trouver une occupation aux alentours du Pasino. Mais je peux vous dire, qu'il n'y a vraiment rien à part un Super U. C'est donc là, que nous avons essayé de faire passer le temps.
    Puis ce fut l'heure, enfin presque, de rentrer. Après une petite heure d'attente, nous avons enfin pu entrer dans la salle.

    Puis le concert a commencé et je peux vous dire, qu'elle ROCKS La Grande Sophie!!!! Elle nous en mets pleins la vue avec ses musiciens. Puis elle bouge, elle saute partout: une vraie rockeuse. Puis ces chansons valent vraiment le coup d'oreille, puis faut dire aussi qu'elle chante bien. Quand elle a décidé de s'assoir au bord de la scène pour nous chanter sans micro, avec juste une guitare sèche, une reprise: fallait envoyer. C'était d'ailleurs une idée super originale, de faire cela: ça crée une ambiance particulière, genre feu de camps. J'ai vraiment aimé ce moment, ainsi que la reprise de Marilyn Monroe.

    En l'écoutant, on peut se poser la question de son nom de scène: "Pourquoi la Grande Sophie ?". Il suffit de la voir pour comprendre, surtout quand on est devant la scène et qu'il faut bien lever la tête pour la voir. Puis elle a vraiment tout de grand: grande bouche, grandes mains, grandes jambes et surtout grands pieds, auquel il faut faire attention, quand elle décide de venir au tout devant de la scène, parce que nos pauvres petits doigts peuvent prendre très cher. En tout cas, elle porte bien son nom au sens propre mais surtout au sens figuré: car je pense que c'est une grande artiste.

     


     


    2 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique