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    Voilà, vous pouvez désormais admirer un blog, qui s'est refait une beauté, grâce aux mains expertes de son esthéticienne: Agathe!

    Puis y a du nouveau maintenant, de la musique! C'est vraiment de la haute technologie maintenant le blog! De la musique illustrant à merveille mes propos, mes dires...Allez fouiner un peu!!

    Toute la musique que j'aime
    Elle vient de là, elle vient du blues
    Les mots ne sont jamais les mêmes
    Pour exprimer ce qu'est le blues

    Puis la musique ça met du baume au coeur, ça égaye les âmes...

    Pour moi, la musique
    Oui la musique
    Je le sais, sera la clé
    De l'amour de l'amitié

    J'espère, que certaines vous feront rire, d'autres vous rappelerons de bons moments, que d'autres vous donneront envie de danser, de chanter ou que même, vous en découvriez!

    Musique
    Et que chacun se mette à chanter
    Et que chacun se laisse emporter
    Chacun tout contre l'autre serré
    Chacun tout contre l'autre enlacé

     

     


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    Il fallait quand même que j'évoque, même succintement, cet épisode de ma vie, qui va me marquer longtemps, je pense. Parce que travailler à McDo, ça marque forcement, autant physiquement, que mentalement.

    Physiquement, parce qu'on se souvient, je pense (encore une fois), de ses deux premiers jours, où on ne peut rien avaler tellement on est dégouté. Dégouté de cette odeur d'huile frite, qui vous colle à la peau!

    Mentalement, tellement c'est speed et chiant. J'ai cru, que le premier jour ne se finirait jamais. Puis j'allais oublier ce magnifique uniforme: c'est radieux! Casquette magnifique, t-shirt admirable et must du must pantalon taille haute extraordinaire.

    Mais maintenant...y a de la gérance dans l'air! Tout s'éclaircit! Ronald ne vient plus hanter mes nuits, et je recommence même à apprécier un petit hamburger par-ci, par-là! Les premiers jours, je revais vraiment de ça la nuit: je me trompais dans les encaissements, dans les commandes...et pourtant, je ne suis pas une fille stressée! Faut dire aussi, que les deux gamelles, sur l'huile, le deuxième jours n'ont pas du arranger mon inconscient!

    En tout cas, un fast-food porte bien son nom: c'est du speedy-gonzesse forcé (clin d'oeil à Raph!!), derrière la caisse! Sauf, quand pour éviter de servir sa prof "adorée" de terminal, on ralentit le rythme, mais malheureusement ça n'a même pas marché: et ça a même entrainé un sourire forcé, et j'en ai eu mal à la mâchoire (hum!! ce n'était surement pas le bon terme à utiliser) de dire un simple "Bonjour" et "bonne journée"!!


     

     

     


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  • Une soirée chicha sans chouchou n'est pas vraiment un soirée chicha made in laine et made in clodine: c'est nul ça marche pas avec toi le jeu de mot ma chère Charlotte! (pour ceux, qui sont entrain de se gratter la têten les yeux fixés sur l'écran, je vais vous aider: moi c'est Madelaine!! J'en dirais pas plus!!)

    Pas de chouchous, pas de Rouge Baiser et donc pas de Lambert ("Oh Lambert, bert, bert"), donc pas de table basse, et pas de téléphone qui sonne...n'est pas ma chère Clo!

    Enfin, une bonne petite soirée, après une bonne petite journée! Faut dire, que la journée avait été rempli en émotions fortes, je devrais même dire, en émotions lourdes! La faute a qui, la faute à Clo! Qui est allé mettre 200 gr de beurre dans le Quatre quart, au lieu des 180 gr, préconisé par Maïté! Deja Maïté, il fallait se méfier, mais là c'était la poufitude garantie!
    Il était très bon notre gâteau, mais...quand on en mange trop, c'est trop!! Et j'ai pu libérer, de mon courage supra-héroïque, bravant les non-dits, les émotions, qui nous pesaient! "Alala, il me reste sur l'estomac ce gateau...!!" Quel soulagement, ce ne fut pas du côté de Claudine et Marie (c'est pas drôle, t'as pas de "joli" surnom Marie)! Marie a surement dû éliminer cet écoeurement plus vite...non non...c'est pas ce que vous pensez...elle a juste fait mumuse avec les poules tout l'après-midi!

    Je veux une autre soirée chicha, chouchous ou pas, avec vous, avant mon départ pour le grand nord, avec thé!! Pour les toulonnais...allez à la Petite Feuille c'est vraiment bien!!


     


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  • "Ne craigniez pas d'atteindre la perfection, vous n'y arriverez jamais" Salvador Dali

    Il a bien raison ce cher Salvador, à quoi bon rechercher la perfection, puisque c'est inacessible et que ça vous mène souvent à faire des bêtises, à l'image de ma chère personne.

    C'est en parcourant ce cher blog, fait de mes chères petites mains, et de ma chère petite tête, que j'ai payé cher ma bêtise. Je suis écorchée jusqu'à la chair depuis ce terrible accident. Alors que j'étais assise sur ma chaire (non pas "chaise", je vous vois venir avec vos gros sabots), devant mon ordinateur, me voilà décidée à remettre un peu d'ordre et améliorer le contenu, mais ce fut une erreur fatale!

    Fatalité, maîtresse de nos destins
    Fatalité, quand tu croises nos chemins

    J'ai perdu des minutes, des heures, des jours, des années de travail! Bon, j'avoue, que l'hyperbole est un superbe moyen de s'auto-rassurer, ou plutôt de se réconforter, inconsciemment! Alala c'est l'instinct littéraire, qui ressort, l'instinct hugolien, Chateaubriandien, Musseien et Lamartinien...

    Reprenons...

    Donc avec cette mauvaise manipulation, j'ai perdu deux magnifiques, superbes, extraordinaires articles (voilà que je recommence; Hyperbole quand tu nous tiens) sur deux chanteurs, que j'admire: Ce cher Raphael et ce cher Serge.

    Accablée par cette perte, je me vois contrainte au deuil. Faisant effet d'épitaphe, je vous laisse ces quelques lignes, ces quelques vers...


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  • Je suis venu te dire que je m'en vais

    Je suis venu te dire que je m'en vais
    Et tes larmes ne pourront rien changer
    Comme dit si bien Verlaine "au vent mauvais"
    Je suis venu te dire que je m'en vais
    Tu te souviens des jours anciens et tu pleures
    Tu suffoques, tu blémis à présent qu'a sonné l'heure
    Des adieux à jamais
    Oui je suis au regret
    De te dire que je m'en vais
    Oui je t'aimais, oui, je suis venu te dire que je m'en vais
    Tes sanglots n'y pourront rien changer
    Comme dit si bien Verlaine "au vent mauvais"
    Je suis venu te dire que je m'en vais
    Tu sanglotes, tu gémis à présent qu'a sonné l'heure
    Des adieux à jamais
    Oui je suis au regret de te dire que je m'en vais
    Car tu m'en a trop fait, je suis venu te dire que je m'en vais

     


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