• Une journée particulière


    Toi
    Tu dis que la vie est un rêve
    Et qu'il n'y a rien autour
    Et que rien ne compte
    Moi personne ne me connaît
    Je ne sais pas même où je vis
    Et j'ai bu tout le jour
    Mais c'est juste une journée particulière
    Et on peut se tailler
    Comme ça envolés
    Mais c'est juste une journée particulière
    Je crois que j'ai rêvé
    Que rien n'était vrai
    Toi
    Tu dis que la vie ne dure pas
    Plus que le temps d'un songe
    Juste fermer les yeux...
    Je crois
    Qu'on pourrait vivre ailleurs là-bas
    Où y'aurait un ruisseau
    Et tout serait mieux
    C'est juste une journée particulière
    Et on peut se tailler
    Auf Wiedersehen
    Mais c'est juste de l'autre côté du mur
    Il n'y a que toi en somme il n'y a que toi
    Qui me connaisse

     


    votre commentaire
  • Vous savez ce que c'est de passer un après-midi photos, c'est comme un safari-photos, sauf que c'est un nouveau concept déposé depuis peu par la société de production Patagat, qui consiste à passer un après-midi entre copains et se prendre en photos sous toutes les formes possibles, sous tous les angles.

    Ce concept est né, un jour ensoleillé du mois de juillet 2005, au bord d'une piscine, et a fait son petit bonhomme de chemin, juqu'au à cette année 2006.

    L'avantage de ce concept est qu'il est possible d'organiser un après-midi photos, seul. Il vous suffit de vous munir d'un appareil-photo numérique, relativement perfectionné et surtout muni de la fonction "retardateur" et de la fonction "rafale". C'est très important. Choisissez un lieu adéquat, ayant un cadre relativement agréable, et surtout qui vous inspire. L'inspiration est la chose la plus importante! Comment faire des fotos par centaines si aucune inspiration vous hante, vous habite.

    Voilà, comment nous avons, Patricia et moi, crée cette distraction d'un après-midi. Il nous a pas fallu longtemps pour l'expérimenter,avec l'aide de Raphaelle, l'année dernière, et nous avons pu en profiter pleinement cette année.

    Je ne vous mettrais pas toutes les photos, car avec 298 photos, je crois que vous en auriez très vite marre. Et oui 298, c'est énorme! Mais...Que voulez-vous? Une fois l'appareil mis en marche, on ne le contrôle plus. Mais je vais vous faire part de nos quelques aventures piscinales et non-piscinales.

    Entre sourires, rires, et même grimaces, que je n'oserai vous montrer ici, on s'amuse bien. Mais ce n'est rien, nous avons fait beaucoup plus fous et bien plus drôles, que de simples poses.

    Nous nous sommes tout d'abord baignées, joyeusement, dans cette eau, azure, délicieuse et agréable. Mais heureusement qu'une photo s'est instantanée, parce que faire l'étoile de mer: c'est pas très naturelle comme pose, surtout quand petit à petit on coule, et qu'il n'y a plus que la tête, qui sort de l'eau. Enfin, Patricia avait une technique, qu'elle ne voulu pas partager.



    Mais une petite baignade nous ennuya vite. Le barbotage c'est pas ce qu'il y a de meilleure pour les photos, niveau imagination, mais l'idée, qui nous vint de fut pas des meilleures niveau esthétique. Mais à bas les convenances et l'esthétique. On fait très "ravi du village", quand même, genre "la piscine ça vous gagne!".


    Puis nous sommes passées au niveau supèrieur, dans le saut, le vrai saut. Et la vous avez intérèt à courir au bon moment, puis sauter au bon moment, parce qu'y a souvent pas mal de rattage en tout genre: droit comme des piquets attendant trop longtemps, ou alors plus personne sur la photo car tout le monde au fond de la piscine.


    Puis ce fut l'inevitable saut "artistique",qui demande une inspiration de la part de chaque participant, pour se laisser aller dans les figures les plus folles.

    Mais je crois que j'ai gagné dans le spectaculaire, même si mon salto fut minable et complètement raté. Admirez cela.

    Je vous laisse avec cette magnifique photo, de la "douce" et "naturelle" Patricia, nouvelle icône choisis par Le Petit Marseillais à la vue de cette photo! 


     

     


    2 commentaires
  • Je savais bien qu'il y avait un autre article important, qui avait été supprimé dans mon délire de perfection passagère! L'article ultra-important, sur les frères Hanson. Rappelez-vous cette époque!!

    Mais vu que je deteste réécrire deux fois la même chose, et surtout essayer de me souvenir de ce que j'avais écris, je vous laisse cette petite vidéo!! Petite vidéo que j'ai pu faire à mes heures perdues.

    http://www.myvideo.fr/watch/16165

    Vous pourrez ainsi voir qu'ils ont bien évolués, bien grandis, autant physiquement que musicalement.

       

     


    1 commentaire
  •  

    Alalala!! Même en écrivant ces sept lettres, j'ai déja le sourire aux lèvres. Alalala!! J'ai même envie de le redire. Je pense, que beaucoup seront ceux, qui liront cet article et qui seront déja au courant de mon aventure, peut-être pas dans tous les détails, parce que je garde une petite partie pour moi, mais seront au courant d'une bonne partie de l'histoire.

    Déja, je tiens à dire: un grand Merci à Claudine!! Sans elle.... Je n'aurais pas ce sourire omniprésent sur les lèvres. Alalala!! (encore lui!!!) Claudiiine!!! Enfin...

    Que d'émotions ce week-end!!! Dimanche avec Johnny, samedi avec Marc!!! C'est dur de s'en remettre!!! Cela fait un peu groupie....j'avoue mais bon...

    Enfin, commençons pas le commencement avant de m'emballer.

    Deux jours avant:c'est sur Clo et Mado vont aller, ensemble, voir Marc Lavoine à Solliès-Pont. Mado était ravie, même si Marc n'était le chanteur, qu'elle préférait, rien ne vaut un concert pour aimer un artiste.
    Mais comment Mado, aurait pu s'imaginer vivre un tel moment? (Ne vous imquiétez pas, j'arrête dans mes délires "Alain Delon", je ne parle plus à la troisième personne!!!) Comment aurais-je pu imaginer, que moi j'allais vivre ça? Et pourtant mon inconscient devait le savoir, alors que je prononça cette phrase lors de cette attente devant les barrières, le regard porté vers les gradins: "ça doit vraiment être bizarre comme sensations d'être sur scène, devant du monde, comme ça!" C'était la réflexion philosophique de la soirée! Parce qu'après, je n'étais plus en mesure de refléchir.

    Le concert commence; enfin Marc Lavoine arrive sur Je me sens si seul, lunettes noir, veste noir: "C'est vrai, je fume trop, C'est vrai, que je bois trop...", puis entame un petit déshabillement... dans la limite du raisonnable...je vous vois venir. Raaaa.... Et là, je peux vous le confirmer: Marc Lavoine est....comment dire....Sex....et pourtant, ce n'est pas ce que je disais avant.

    Ce fut un concert génial. On a dansé, chanté comme des petites folles. Attendez comme ne pas sentir la vibe, à l'écoute comme Le parking des anges, Pour une biguine avec toi, ou Les tournesols... Alalala!!! Et ce Toi, mon Amour, ce "Elle a les yeux revolvers, elle a le regard, qui tue..." Une voix, comme la sienne...ça entraîne...!!!

    Mais je crois, que la chanson capitale de la soirée fut Je ne veux qu'elle. Vous savez...le duo avec Claire Keim. Mais Claire Keim n'était pas la!! Et qui était censée chanté à sa place?...MOI!!

    Mais comment voulez-vous chanté quoique ce soit sans un minimum de préparation mentale? It's impossible!! Surtout quand on chante aussi mal, que moi.
    Parce que, pour ne pas avoir été préparé à cette éventualité, je n'ai vraiment pas été préparé. Toute innocente, contre ma barrière, à côté de ma chère Clo, voyant tout d'un coup des bras se lever, des voix s'écriées; j'ai eu le temps de voir un doigt, du haut de la scène, se diriger vers moi, que j'étais déja projetté sous les feux des projecteurs. J'ai mis quelques secondes avant de comprendre ce qui m'arrivait. Je me suis retrouvée, assise, dans ses bras. Retrouvant plus ou moins vite mes esprits, j'ai eu le temps de lui glisser un "je ne sais pas chanter" et ce cher Marc à chanter à ma place! OUF!!! Il me suffisait de ne pas avoir l'air trop niaise, d'arriver à le regarder dans les yeux, et de ne pas défaillir à ses quelques bisous sur la joue ou carresses dans le cou. Pour défaillir, pas assez folle de lui, mais je n'ai pas pu échapper au regard "d'admiration-niaise" et au sourire "Colgate", malheureusement. Mais je défis quiconque de le regarder dans les yeux sans ce regard "d'admiration niaise" et ce sourire "Colgate". Parce que QUELS YEUX!! Hein Clo: ce petit regard du début ne t'a pas laissé indifférente!?

    "Tes yeux sont si profonds qu'en me penchant pour boire
    J'ai vu tous les soleils y venir se mirer
    S'y jeter à mourir tous les deseperés
    Tes yeux sont s'y profonds que j'y perds la mémoire"

    Louis Aragon.

    Un peu de culture tout de même.

    Après ce moment, atemporel et inimaginable, le concert repris son cours normal. Au bout de trois ou quatre chansons, le mec de ma projetée sous les feux de la rampe, vint me demander de confirmer cette projetée. Puis M.Lavoine me tendit sa serviette. Alalala!!! Puis il fallu s'en aller, après une bise final de la main, des étoiles pleins les yeux, pleins les oreilles, plein la tête et plein le coeur.

    Alalala que de péripéties!! A nous deux Claudine (Charlotte pour ceux, qui n'auront toujours pas compris),...., après G.M., C.V. et M.L., c'est qui le prochain...???

    Je vous mets les quelques fotos, que j'ai: qualité portable, mais ça fait toujours plaisir quelques souvenirs. Merci à celle, qui les a prise.

                                                         

     

                                           

     

                                           

     


    2 commentaires
  • Je ne vais pas m'éterniser sur cet article. J'aurais pu faire un éloge de Paris, mais c'est déja fait, pas très loin.

    Donc je vais juste vous parlez de mon coup de coeur de l'été, car faut vraiment aller voir ce film. Surtout, pour ceux qui voient Paris comme une ville, où il peut se passer des millions de choses, aussi inattendue les unes que les autres, et surtout pour ceux qui voit en Paris, une ville pleine poésie.

    Voir comme cela, un peu moins de vingts courts métrages, chacun sur un arrondissement de Paris, c'est génial comme idée. Et cela donne un film original, où on ne s'ennuie pas une minute.

    Quand, en plus on sort du cinéma, et qu'on se retrouve, seule, dans les rues de Paris: on est complètement bouleversé. Je ne voyais plus les gens de la même façon, je ne voyais plus ces rues, que je traversaient depuis une semaine déja, de la même façon. On voit les choses autrement. On se rend compte de la puissance que peut exercer une ville sur des personnes. Chaque paysage, qu'il soit sombre, lumineux, propre, sale représente une certaine poésie. (On sent celle qui a suivi les cours sur le paysage!!! lol).

    Faut vraiment voir le plus vite possible ce film. C'est pas un chef-d'oeuvre, en soi, mais il a le mérite de mettre en avant, sous un angle encore jamais abordé, la ville; ce qu'elle inspire et engendre.

     

                                       


    1 commentaire