• C'est l'histoire de quatre filles dans le vent: Charlotte, Coralie, Camille et la dernière, l'exception en "A", Agathe. Quatre filles vivant aux quatres coins du Var, quatre fille aux horizons et aux caractères différents, mais quatre filles qui vont vivre une journée pas comme les autres en la Principauté de Monaco.

    Un train devait les réunir, mais ce n'était pas seulement un train, c'était le train de 07h10. Et pourquoi s'attarder sur un train, qui plus est était un corail de piètre qualité, qui avait des sièges inconfortables? Tout simplement parce que ce train fut un élément moteur de cette histoire. Vous savez l'élément, qui aurait pu faire basculer l'histoire dans une toute autre perspective.

    Agathe, dans sa petite Twingo et Coralie et Charlotte dans leur voiture, dont je ne peux citer le nom pour cause de vol possible de voiture de collection, arrivèrent à la gare. Mais point de Camille, point de Camille sur place, point de Camille au téléphone: Camille était nulle part. Pas de panique du côté des trois autres, mais de multiples hypothèses traversèrent leurs esprits. 7h10, pas de train, et surtout pas de Camille. Mais que faisait-elle? Quand un appel fut interpelé par le portable de Charlotte. Camille. Camille faisait, enfin, son apparition. Camille était en retard. Camille ne s'était pas reveillé et Camille était en retard. Petite rigolade mesquine entre les trois compèresses, pendant que Camille, la désormais célébre Camille, se démenait, tant bien que mal, dans sa course effrénée, dans les rues de Toulon. Le désarroi habitait notre chère Camille, qui arriva à la manière d'une guerrière désabusé dans le hall de la gare, son billet dans une main, son sac dans l'autre, demandant à travers quai, ce qu'il fallait faire ce billet. Ce fameux billet pour le train de 07h10, qui attendait inconsciemment, ou peut-être même consciemment Camille.

    Voilà, nos quatres damoiselles partit pour un pélèrinage monégasque, à bord du train de 07h10. Ce n'est qu'après un changement et quelques deux heures de trajet, qu'elles arrivèrent en gare de la principauté. Une rumeur s'éternisait jusque sur les quais de la gare. Une rumeur, qui m'était en joie, une partie des voyageurs d'un jour. Une rumeur, à la fois sourde et sonore. Une rumeur, qui grandissait, grandissait, à l'approche du lieu fatidique.

    L'arrivée dans les gradins se fit sous un soleil de début de matinée, encore frais, mais qui chauffait la peau et qui lui donnait des frissons de réconfort. Il fallut attendre plusieurs minutes, pour que le moment attendu arrive; le départ de la course des essais de F1.

    Quelle magie dans les yeux de Charlotte et Coralie, mais on peut percevoir quelques pointes d'incompréhension dans ceux d'Agathe. Et oui ce fut, à l'image de Camille, un baptème de grand prix, ce jour là, pour elle. Jamais de sa vie, elle n'avait regardé un grand prix, à l'exception d'une fois, mais où les dents de sagesse occupaient toute son attention. Armée comme tout le monde, avec des boules quies dans les oreilles, elle regardait les voitures se déchaîner sur la piste, avec une fougue impressionante. Mais elle ne comprenait rien. Elle voyait des voitures défilée devant ses yeux et voir des chiffres défilés sans bien comprendre à quoi cela correspondait. C'était un sentiment bizarre qu'elle ressentait: un sentiment d'intense solitude: elle voulait parler, questionner ses coéquipières, mais rien n'était possible: elle était face à un mur de son, un mur infranchissable. Mais elle restait tout de même admirative face à ce qu'elle voyait.

    Puis la course s'arreta et repris quelques heures plus tard: Agathe comprenait enfin tout le spectacle qui s'offrait devant ses yeux, mais il y avait toujours cette solitude, parce que maintenant elle voulait s'extasier, réagir: mais rien. Elle était face à elle-même, en tête-à-tête avec son esprit. Mais cela restait encore et toujours magique.

    Puis ce fut la fin, mais une petite visite de la ville s'imposait, alors nos quatres filles, entamèrent un pèlerinage à travers les rues monégasques, immortalisant les souvenirs par de multiples photos. Photos en tous genres.



    Les heures défilaient et après une petite glace, une longue méditation sur les voitures, qui passait et un passage rapide à Mc Donald's (c'est dans ces moments là, qu'on comprend pour quoi cela s'appelle un fast food), que leur du départ arriva. On sentait l'émotion dans leur coeur. Le retour en train, en revanche, fut cocasse, avec l'exhibition exceptionnelle d'un être surnaturel venu d'une planète encore inconnue, qui a la particularité de dormir la tête à la verticale, coincée entre deux sièges.


    Ce fut une journée géniale! Une petite journée, ou plutot devrais-je dire une longue journée, qui a commencé très tôt et qui s'est fini relativement tard. Une journée tout en rigolade! Une journée tout en soleil et même coup de soleil pour certaines!

    Pour plus de photos: http://hacunamatata.myblog.fr/Monaco_alb35661.html


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  • J'avoue....

    J'avoue, j'en ai bavé, pas vous, mon amour...Non rien à voir...Serge n'a plus rien avoir là...Et encore, qui sait....

    J'avoue, j'ai une chance de....j'ai un chance de....de....de cocue, qu'il y est ou pas moyen....Faut bien le dire....

    Certains ont sûrement plus de chance que moi, car je ne pense pas encore avoir atteint l'acmé de la chance, mais je suis seulement à sur la pente, pente douce pour le moment, qui m'y mène, petit à petit. Je pourrais seulement dire que j'ai atteint le paroxysme, l'apogée, l'acmé de la chance quand j'aurais gagné au Loto ou quand je serai tombé par hasard dans les bras de Brad Pitt (paranthèse: belle cacophonie ici:[bra de/ brade], passons ce ne peut interesser que quelques spécimens, ce genre de remarque).

    Mais j'avoue que j'ai une plutôt bonne étoile qui veille sur moi pour le moment, pas la grande Ourse mais une petite étoile, une petite étoile, qui brille chaque jour dans le ciel et qui me protège et qui me porte chance, j'èspère seulement qu'elle ne finira pas sa course dans un crash avec l'atmosphère, filant dans le ciel pour une course éphémère. Ne meurt pas trop ma bonne étoile.

    Je vais quand même évoquer, deux de mes coups de chance, qui ont pu m'arriver ces derniers mois, où plutôt devrais-je dire ce mois-ci. Je cite ces deux là, puisqu'ils se sont traduit par deux surprises, auquelles je ne me serai jamais attendue.

    Ces deux là, sont deux spectacles, que j'ai pu gagné, au hasard de mes écoutes radiophoniques ou autres passages sur internet: le premier fut un Zenith Omega en compagnie de ce cher Alain Souchon et le deuxième fut un Pasino en compagnie de sympathique Gerald Dahan.

    Alain Souchon

    Commençons par le commencement. Un bel après-midi d'été, en pleine révision d'ancien français, au soleil, en maillot, sur un terrasse, me voilà entrain d'écouter la radio, et qu'entend-je??? Qu'il y avait des places à gagner pour aller voir Souchon! Je ne sais pas vraiment, encore ce qu'il m'a pris, lorsque j'ai pris mon téléphone au moment où l'animateur déclencha le feu vert. Moi, aller voir Souchon? Ouai, en fait pourquoi pas! Mais je n'y serai jamais allée sans les avoir gagnées.

    Ce samedi 22 avril 2006, me voilà donc assise, à côté de ma Mum, que j'avais gentillement convié, pas très loin de la scène, en attendant qu'Alain arrive triomphalement sur la scène. Il est donc, arrivé plusieurs minutes plus tard; triomphalement, ce serait un peu hyperbolique, mais il est arrivé sur scène au milieu de quelques musiciens, modestement. Puis, il a commencé à enchaîner ses chansons, je ne connaissais pas vraiment les chansons, à part La Vie Théodore et Et si en plus y'a Personne mais il a commencé à nous raconter une petite histoire sur les gens, qui se retrouvait toujours au fond de la salle, et qui le voyait toujours de très très loin, et a dit à tout le monde de s'approcher devant la scène. Je me suis pas fait prié longtemps et me suis donc retrouvé juste devant la scène sur le côté gauche. Place géniale, à l'exception des deux hystériques de cinquante ans derrière moi, puis il s'est mis à nous chanter les célèbres Foule Sentimentale, Rame, ou encore La vie ne vaut rien.

    J'ai vraiment aimé ce concert, moi qui avait peur de m'endormir face à un Souchon, assis sur un tabouret, une guitare dans les mains, que de préjugés!!! Car détrompez-vous gentes demoiselles et gentes damoiseaux ce cher Alain à la pêche: il bouge, danse et est relativement proche de son public, par contre, je sais pas s'il vaut mieux le voir de près ou de loin....!!!

    Gerald Dahan

    Ce fut la plus grande suprise, et je pense que Charlotte partagera mon avis. Surprise tout d'abord, quand le jour même, j'apprends par un mail, que j'ai gagné deux places pour aller voir Gerald Dahan à Aix. Et dire, que je n'ai failli jamais voir ce mail... J'ai cette fois-ci convié Charlotte pour ce nouveau spectacle auquel je pouvais assister sans avoir rien à payer! Et c'est vrai que, je n'aurais jamais payé pour aller le voir; je le connaissais grâce aux émissions de tv et à ses canulars téléphoniques mais c'était tout...je ne m'étais jamais vraiment interessée au personnage et à ce qu'il faisait...et pourtant je le conseille à tout le monde, parce qu'il vaut vraiment le détour.

    On fut très bien placées, personne pour gêner notre vue, et on a ainsi pu assister à un véritable numero de maître dans ce qui est de l'immitation. J'ai rarement vu quelqu'un, qui arrive aussi bien à immiter autant de personnalité, et à arriver à leur ressembler. J'avais peur de me lasser, mais alors, que nenni, c'est deux heures ultra-vivantes, qu'il nous a proposé ce soir-là. Il nous a offert des immitations telles Sarkosy, Chirac ou De Villepin, telles Sephane Bern, Jacques Martin ou Jean-Luc Delarue, ou encore telles Jonnhy Hallyday, Raphael, Calogero, Indochine, Jean-Jacques Goldmann, Patrick Bruel, Garou ou encore Michel Sardou. Puis, il fait vraiment vivre son spectacle, par des petites anecdotes ou en faisant participer le public. Et le plus important c'est qu'on rit, on rit vraiment spontanément, puisqu'il est lui-même très spontané et arrive à s'adapter au public. Puis il est super sympa (un plus, non-négligeable) ;car j'ai eu droit un petit cadeau (un peu forcé j'avoue!), signé d'un beau petit mot.

    A voir d'urgence pour ceux qui aurait encore la possiblité de le voir.

     

     

     


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  • Aujourd'hui une profonde amertume berce mon âme; mon deuxième poisson vient de perdre la vie la nuit dernière, seulement quelques jours après sa compagne. Il est sûrement mort dans d'atroces souffrances, mais impossible pour lui de me communiquer son mal, moi, être impuissant face à cette espèce defavorisée que sont les poissons. Impossible pour eux de pleurer, de crier, aucun moyen de remedier à leur mal: une seule issue se présente à eux; se laisser mourir dans un coin de l'aquarium, se laisser petit à petit porter au long des flots, se laisser petit à petit attirer par la cruelle pompe; attendre péniblement le dernier souffle.

    Quel triste sort que celui d'un poisson rouge, tout de même. Finir pour la plupart, dans les égouts municipaux, ou dans une fosse sceptique pour les plus chanceux, n'est-ce pas abominable? N'avoir à vivre qu'un an, deux an au mieux, et ne pas pouvoir profiter de la vie comme ces êtres puissants, qui laissent chaque jour flotter la nouriture quotidienne, et qui, de temps en temps ont l'amabilité de nettoyer l'eau pourrissante.

    Mes chers compatriotes d'espèce, ne vous réincarner jamais en poisson rouge, en poisson japonais, en poisson d'aquarium quoi, ne vous laissez pas influencer par la facilité, car derrière la facilité, il y a l'ennui. Et l'ennui est la cause de beaucoup de soucis.

    Je tiens, donc, à rendre hommage à Maurice, poisson japonnais, mort quelques jours après sa compagne Huguette en ce 8 mai 2006, 61 ans après l'armistice de seconde guerre mondiale. Je tiens à rendre hommage à ce poisson d'excellence, qui partage maintenant des joies post-mortelles avec sa femme Huguette.



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  • Comme beaucoup le savent maintenant, je suis une téléspectatrice inconditionnelle de la bande à Ruquier! Enfin par inconditionelle, j'entends, regarder tous les jours, arrêter ce que je suis entrain de faire pour aller regarder, attendre de goûter pour le savourer devant (faut dire, je goûte très tard), mais je ne suis pas non plus une fanatique, au point d'annuler une sortie, ou même de prevoir mes sortie en fonction de la diffusion ou même enregistrer quand je ne suis pas là!! Je n'ai pas encore atteint ce grade, et je ne pense pas, qu'il soit atteint un jour. Mais ça va me manquer l'année prochaine tout de même, pendant mes aventures extra-territoriales!! Ils me font bien rire, puis je m'informe pas mal. Cela ne vaut pas une lecture quotidienne du journal mais ça s'en rapproche pas mal et je trouve que l'emisson est plutôt bien faite.

    Donc pour en revenir à mon histoire personnelle un peu, étant donc une passionée, j'ai décidé lors de mon passage dans la capitale, de faire une petite excurssion au Moulin Rouge et d'assister à l'emission en ce jeudi 27 avril! Je ne savais pas trop à quoi m'attendre, n'étant jamais allée assister aucune émission que ce soit!! Il y eu une attente un peu trop longue à mon goût, dehors; heureusement qu'il ne faisait pas trop froid! Puis ils nous on fait rentrés, enlevés nos couches superflues (en tout cas, je conseille à tous ceux qui un jour veulent y aller...enlever tout, bon peut-être pas tout, mais n'ayez pas peur d'avoir froid!!!). A ce moment là, la femme qui acceuillait, me dit de me mettre sur le côté et de ne pas suivre les autres dans les escaliers!! Je ne comprenais pas trop surtout que j'étais toute seule, puis finalement d'autres jeunes sont venus compléter ma file et là j'ai compris: Que c'est bien d'être dans la fleur de l'âge!!! Et ouai, on a eu petit traitement de VIP, en passant devant tout le monde, afin de nous mettre juste derrière les chroniqueurs...c'est pas la classe ça!!! Bon y a le revers de la medaille!! Si on ne veux pas que tout ceux qui vont tomber dessus et qui nous connaissent, se moque de tous ce qu'on fait, il faut faire un minimum gaffe à ce qu'on fait, genre ne pas bailler, se gratter ou je ne sais qu'elle petit tracas. En tout cas, c'est assez marrant de voir comme ça, un enregistrement, on comprends mieux, parfois certaines chose, puis on les voit tous, de la manière où ils sont hors des caméras. Puis qu'est-ce qu'il fait chaud, et qu'est-ce qu'on est mal assis sur ces petits coussins!! En tout cas, c'était une bonne expèrience, que j'ai pu en partie continuer, contre toutes attentes, après l'emission et le lendemain à Europe 1...mais je n'en dirais pas plus ici.

    Mais ou suis-je????

     




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  • A la la!!! Elle me fait trop rire!! J'ai vu très peu de ses films mais à chaque interview ou passage tv, elle me fait rire, elle dit les trucs tellement naturellement, avec tellement de vérité et de sincérité et toujours de façon " à l'ouestiste" que je ris à chaque fois. J'aime les gens, qui ont leur petit monde à eux, qui osent faire des trucs pour aller à contre-courant des autres; comme poser avec sa poule en pleine psychose de la grippe aviaire, puis j'ai enfin trouvé quelqu'un qui est d'accord avec moi sur le fait que dans vingt ans, tout le monde sera lifté. J'ai trouvé ce week-end une de ses interview dans Femina, qui resume tout a fait le personnage: un personnage intersidéral!!!

    Voila quelques extraits, que j'aime bien.

    Etes-vous attachée à vos rêves d'enfants?

    Non. Je voulais chanter, mais je n'ai pas de voix; je voulais être trapéziste mais j'ai le vertige. Petite, je n'avais pas beaucoup de rêves. Ma vraie ambition, c'est un peu de paix quand je suis seule chez moi, sans flipper ou avoir besoin de quelqu'un. Car j'ai toujours besoin de remplir un vide sidéral depuis que j'ai 5 ans, de meubler en parlant au téléphone, en écoutant de la musique. J'ai hâte d'être une femme du troisième âge, d'avoir 65 ans. Je pense qu'à cet âge je serai en paix et contente d'être un humain sur Terre.

    Quel est le plus compliqué: être la fille de Gerard Depardieu ou la soeur de Guillaume?

    Ca n'a jamais été difficile. On a tous des valises, plus ou moins lourdes, à chacun d'y ajouter les roulettes. Les miennes, je les ai trouvées, même si ce n'est pas fini. Ce qui me plaît, c'est de chercher, pas de trouver. Mais vous savez, je suis tout à fait normale, on ne peut pas être plus normale.

    Pourtant, vous êtes une personnalité singulière, y compris dans votre look...

    Ah bon? Je ne trouve pas. J'ai découvert le jean cette année. Avant je n'en mettais jamais. Sinon, je suis un peu retro. Je ne suis pas du tout de mon époque, j'aurais souhaité vivre en 1860, sous Napoléon III. J'adore. J'aurais été une suivante, une courtisane, une femme d'ambassadeur qui serait allée à l'Opera tout le temps.

    On vous voit toujours avec des fleurs dans les cheveux. Que representent-elles?

    Elles m'aident à lutter contre la dépression, avec des petits moyens, c'est le Prozac du pauvre. Tu mets une grosse fleur et tu te dis que faire la gueule avec, ce n'est pas possible. Donc ça t'encourage à aller mieux. Puis je suis déprimée et plus j'en mets. Aujourd'hui, je n'en porte qu'une, cela signifie que je suis gentiment déprimée.

    Physiquement, vous vous accepter?

    Je ne me trouve pas géniale, mais ça commence à aller mieux. Je me maquille à mort. C'est un peu une couverture, on n'est pas tout nu. Je fais des raccords tout le temps. Heureusement que le fond de teint existe. J'adore mettre des couleurs, j'ai l'impression que ça arrange tout.

    Vous avez dit que, à 40 ans, vous vous feriez lifter. C'est vrai?

    On y viendra tous. C'était comme se refaire les dents il y a vingt ans. Quand tu commences à accepter ta tronche assez tard, pile les rides arrivent! C'est bête.

    Avez-vous toujours la passion des poules?

    On ne peut pas être passionnée par une poule. Ce qui me ravit, c'est qu'elles pondent un oeuf chaque jour. La vie de basse-cour, c'est super.


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