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Rimbaud
Ma Boheme
Je m'en allai, les poings dans mes poches crevées;
Mon patelot aussi devenait idéal;
J'allais sous le ciel, Muse! Et j'étais ton féal;
Oh la la! que d'amours splendides j'ai revées!
Mon unique culotte avait un large trou.
- Petit-Poucet rêveur, j'égrenais dans ma course
Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse.
- Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou
Et je les écoutais, assis au bord des routes,
Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes
De rosée à mon front, comme un vin de vigueur;
Où, rimant au milieu des ombres fantastiques,
Comme des lyres, je tirais des élastiques
De mes souliers bléssés, un pied près de mon coeur!
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Commentaires
Muse²
toi qui sais lire et écrire toi le poète peux tu me dire ce que veux dire Phoebus! (et non pas Phoebe!)Rimbaud
"J'adore" comme on dirait dans la jet-set. J'aime beaucoup ... mon poème préferé reste quand meme "le dormeur du val" mais si c'est vrai qu'il est le plus connu ... soit ! il est tellement beau !Artiste...
Cette foto, je l'ai tout simplement trouvé en tapant "Rimbaud" dans google image, mais si vous connaissez l'artiste mais dtes le moi y a pas de pb, je le rajouterai car je ne le connais pas!
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ahhhhhhhhhhhhhhhhhh! un des poèmes que j'ai choisi pour exprimer ma muse!!! ohh mon Dieu Agathe! on est faite l'une pour l'autre! Marry me!! (xpdr!) ahlala cet Arthur alors quel homme lui aussi!