• Je tenais aujourd'hui à souhaiter la fête d'un homme! L'idole de mon enfance, de mon adolescence, l'idole de ma vie!

    Et quel homme!

    Malheureusement, je ne pourrais jamais lui serrer la main et lui dire:

    BONNE FETE MON CHER LOUIS!

    Quel honneur s'aurait été!

    Et non, il aurait fallut, que je vécusse, quelques siècles plutôt, quatre exactement. Et oui, malheureusement, je ne pourrais jamais entendre ces divins mots: "l'Etat c'est moi!", je ne pourrais jamais danser , en robe, un loup sur le nez, lors des grands bals organisés par ce cher et tendre, à Versailles.

    Pauvre de moi! Enfant de l'internet génération! J'aurais au moins pu attendre encore quelques siècles, pour faire mon apparition sur cette terre, lorsqu'on aura inventé la machine à remonter le temps! Mais non, je suis là, en ce XXIème siècle! Y a t-il une raison cachée? Qui sait?

    Bon je tiens donc à souhaiter une BONNE FETE à ce cher LOUIS XIV !!!

     

                                                     

    Peut-être danse t-il, en ce moment, sur les nuages de l'au-déla, en son honneur!!

    Bon n'oublions pas les autres Louis:

    Louis de Funès


    Louis Aragon



    Louis Lumière


    Louis Armstrong



    Louis Bertignac


    Et tous les Louis anonymes de cet chère terre!


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  • J'ai lu cet article dans Glamour et franchement ça m'a touché! Je vous conseille de le lire, ça fait vraiment réfléchir.

     
    Je traversais une salle pèriode. En apparence, tout allait bien. J'avais 25 ans, un très bon poste dans une maison de disques et une flopée d'amis qui m'entouraient. Mais je me noyais dans le boulot et la fête parce que ma copine m'avait quitté sept mois plus tôt et que je n'arrivais pas à m'en remettre. Mes parents m'ont poussé à prendre des vacances. Je suis partit seul chez ma tante, dans le sud de la France, espèrant que l'air de la mer me ferait du bien. C'était le plein hiver, mais il faisait beau. A la fin, d'un dejeuné très agréable, j'ai demandé à ma tante sa voiture pour aller voir des amis au bar du port. Elle me l'a prêtée sans hésiter. J'avais mon permis depuis sept ans, jamais d'accident majeur et, si je suis un peu tête en l'air, je roule toujours hyper lentement. La journée s'est écoulé, sans que je me rendre vraiment compte que j'avais descendu pas mal de bières, et j'ai repris le colant pour rentrer. J'étais presque arrivé à la maison. J'ai voulu changer de station de radio et je me suis concentré sur le poste. Quelques secondes plus seulement. Mais voilà, quelques secondes c'est assez pour changer de voie sur une nationale. J'ai senti un choc violent qui m'a propulsé vers le pare-brise. Et puis, plus rien. Quand j'ai repris mes esprits, j'étais dans un camion de pompiers. Je m'étais évanoui un bon moment. Ils ont même découpé la voiture autour de moi sans que je reprenne conscience. Au départ, encore un peu dans les vapes, la première idée qui m'a traversé l'esprit, c'est que j'allais me faire engueuler par ma tante à cause de la voiture. Et puis, lentement, je me suis mis à réaliser. Le pompier en face de moi était tout couvert de sang. Or, je n'avais aucune blessure ouverte, juste une douleur au niveau du torse à cause de la ceinture de sécurité. J'ai commencé à me faire un mauvais film. Je leur ai demandé dans quoi j'avais tapé. Des bléssés? Personne ne m'a répondu directement. On ramenait tout à moi, comment je me sentais, si j'avais mal quelque part. J'avais un mauvais préssentiment. A l'hôpital, une jeune infirmière est entré dans ma chambre. On a un peu discuté. Du coup, je lui ai posé la question. Elle m'a répondu directement mais sans me juger: "Manu, tu as fait une chose grave. Tu as tué quelqu'un." Je pensais m'être préparé au pire, mais on n'est jamais prêt à entendre ce genre de chose. J'étais complètement sonné. Tant que je n'avais pas de détails sur la victime, son sexe, son âge, je n'arrivais pas à l'accepter pour de bon. Je repoussais l'idée pour être plus exact. Très égoïstement, c'est d'abord à mon avenir que j'ai pensé. Je voyais des mots comme "procès", "jugement" danser dans ma tête. L'avenir était subitement devenu noir. Deux flics sont arrivés juste après. Ils m'ont fait une prise de sang. L'un des mecs a ricané: "Et bien! Vous étiez bien plein!" 2,8 grammes dans le sang. Je n'avais pas du tout fait gaffe dans l'état dans lequel j'étais en reprennant le volant. C'est ça, le truc terrible. C'est qu'avant de traverser ce genre d'épreuve, tu ne fais jamais assez attention à ces histoire-là.

    J'ai passé la nuit à pleurer sans dire un mot, à moitié shooté aux calmants. L'infirmière est restée près de moi tout le temps. A un moment, je me souviens qu'elle m'a pris dans ses bras. J'aurais tellement voulu que mes parents soient là! Le matin, ma porte s'est ouverte et j'ai pris la justice de pleins fouet. On m'a passé les menottes et ont m'a jeté en taule. "Pure précaution", m'a précisé un juge. On m'enfermait pour éviter qu'un proche de la victime ne décide de rendre justice tout seul. C'est là que j'ai appris que cette victime était une femme et qu'elle était enceinte. A partir de ce moment là, je ne pouvais plus penser à rien, complètement déphasé, je suis devenu simple spectateur des évènements. J'ai regardé les flics m'enfermer pour de bon. C'était un peu comme à l'armée. On m'a filé mon barda, une couverture, un drap, un rouleau de PQ. Je partageais ma cellule avec deux militaires, arrêtés pour trafic de haschich sur leur base.

    Dans notre cellule, on se parlait peu. Le télé, allumée en permanence, nous abrutissait. Une sortie de trente minute tous les deux jours et une douche tous les trois jours. Point final. J'avais le temps de réfléchir à ce que j'avais fait. Même si je voulais fuir ce souvenir qui me torturait et me concentrer uniquement sur les conséquences que je devais assumer. Ce que j'attendais, c'était les visites: celle de ma tante au début qui me donnait des nouvelles de l'extèrieur, mais surtout celle de mes parents. J'étais comme un môme de cinq ans, j'avais un besoin vital de les voir, quitte à ce qu'ils me traitent de tous les noms. Quant, au bout de trois semaines, on m'a enfin appelé au parloir et que j'ai vu ma mère de l'autre côté de la vitre, je me suis mis à pleurer. Elle n'avait rien a faire dans cet endroit, parmi tous ces gens. Mon père et mon frère étaient là aussi. C'était bon de se retrouver tous les quatre. Ils ne m'ont fait aucun reproche, conscient que la situation devait déja être assez pénible. Le détail qui m'a fendu le coeur, c'est quand j'ai appris que ma mère m'avait apporté un gateau et des BD. Il va s'en dire qu'ils ont été confisqués. Le temps a continué sa course sans que personne ne puisse me dire exactement ce qui allait m'arriver. J'ai passé Noël et le jour de l'an derrière les barreaux. J'avais encore peine à croire à ce qui s'était passé.

    Au bout de deux mois, un maton est entré dans ma cellule. Il m'a dit que j'avais un quart d'heure pour faire mon paquetage. Mes deux cocéllulaire m'ont aidé à rassembler mes affaires. Ils m'ont ensuite donné des lettres à remettre à leurs proches, un pendentif porte-bohneur pour une petite amie inquiète. On était tous un peu émus sans vraiment savoir le formuler. Quand j'ai mis un pied dehors, j'ai trouvé que l'air frais n'avait plus le même goût. Ma tante est venur me chercher. Le simple fait de voir un vrai lit, un canapé, j'étais heureux. Ensuite, j'a réintegré Paris. Ma mère avait prevenu mon employeur et mes deux meilleurs potes. Pour tous les autres, j'avais pris des vacances prolongés. Je preférais garder le secret pour moi. J'ai repris ma vie d'avant, l'alcool en mois, en attendant mon procès. Je devais pointer chez le juge une fois par mois et passer chez le psy de mon choix une fois par semaine. Mais la thérapie, quand ce n'est pas vous qui décidé de l'entreprendre et qu'on vous l'impose, ça ne sert pas à grand chose. A l'époque, je pensais pouvoir m'en sortir seul et je ne croyais pas une seconde que le fait de m'allonger me serait d'une quelconque utilité. J'ai trouvé un docteur qui avait envie de parler à ma place, de raconter ses dernières vacances, ses problèmes mêmes. Parfait. Pendant ce temps-là, je pouvais me taire. Cette pèriode d'attente a duré un an. Juste avant le procès, mon avocat m'a prévenu que je risquais jusqu'à trois ans ferme. Malgré cela, j'étais préssé que le jugement soit rendu pour purger ma peine et clore le pire chapitre de ma vie.

    Je savait qu'il serait dans la salle. Au procès, j'ai vu pour la première fois le "conjoint de la victime", comme le désigne le langage technique. Je n'avais pas voulu en savoir plus sur cette femme que j'avais tuée. En revanche, j'avais écrit des centaines de lettres, en prison et après, à cet homme à qui j'avais tout pris. Des lettres où, je lui demandais juste pardon. Je voulais qu'il sache à quel point ma vie aussi en serait changée à jamais. Mais les mots paraissaient toujours trop faibles et je n'en ai jamais postées aucune. Au procès, nos yeux se sont croisés une seule fois. J'avais du mal à assumer son regard. Le procureur général est monté à la barre, il m'a montré du doigt et puis il s'est déchaîné. A la fin, le juge m'a demandé si je voulais ajouter un mot. J'ai juste expliqué qu'à mes yeux, mon crime était impardonnable, que j'en porterai toujours les conséquences et que, quelle que soit la peine requise par la justice, elle serait infime par rapport au désastre que j'ai pu causé. La sentence est tombée: un an en semi-liberté. J'irais donc travailler la journée, mais je devrais être dans l'enceinte de la prison dès mon boulot fini. A la sortie du tribunal, je ne sais pas ce qui m'a pris, j'ai vu le mari de loin, je me suis approché et je lui ai tendu une main tremblante. Une main qu'il a serré. Je ne sais rien de cet homme, mais je n'oublierai jamais ce geste héroïque. Beaucoup n'auraient pas pu serrer la main du mec qu'ils rêvent de tuer. A son expression, j'ai cru comprendre qu'il me disait: "Essaie quand même de vivre, malgré tout ça."

    Je n'ai purgé que trois mois au total. Ensuite, j'ai été relâché pour bonne conduite. Ce jour-là, j'ai cru que j'avais enfin tourné la page. Pure naïveté. C'est à ce moment que tout a vraiment commencé. La culpabilité qui vous envahit par vagues. Les cauchemards qui font de vos nuits un calvaire. Je me disais sans arrêt: "Que je sois mort ou vivant, ça n'a plus grande importance." Et à chaque fois qu'il m'arrivait quelque chose de bien, je me répétais que je n'avais pas le droit d'être heureux. Pendant sept ans, je n'ai parlé à personne de cela. J'avais en tête une idée idiote: je devais m'en sortir seul comme je l'avais toujours fait. Depuis peu, j'ai enfin compris que j'avais tort. J'ai commencé une thérapie et je sens que la parole d'un autre peut m'aider. Je me relève timidement et essaie de faire avec ce qui s'est passé. Il n'est pas question d'effacer ces souvenirs bien sûr. Je voudrais juste trouver un moyen de vivre avec.


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  • Comme beaucoup le savent maintenant, je suis une téléspectatrice inconditionnelle de la bande à Ruquier! Enfin par inconditionelle, j'entends, regarder tous les jours, arrêter ce que je suis entrain de faire pour aller regarder, attendre de goûter pour le savourer devant (faut dire, je goûte très tard), mais je ne suis pas non plus une fanatique, au point d'annuler une sortie, ou même de prevoir mes sortie en fonction de la diffusion ou même enregistrer quand je ne suis pas là!! Je n'ai pas encore atteint ce grade, et je ne pense pas, qu'il soit atteint un jour. Mais ça va me manquer l'année prochaine tout de même, pendant mes aventures extra-territoriales!! Ils me font bien rire, puis je m'informe pas mal. Cela ne vaut pas une lecture quotidienne du journal mais ça s'en rapproche pas mal et je trouve que l'emisson est plutôt bien faite.

    Donc pour en revenir à mon histoire personnelle un peu, étant donc une passionée, j'ai décidé lors de mon passage dans la capitale, de faire une petite excurssion au Moulin Rouge et d'assister à l'emission en ce jeudi 27 avril! Je ne savais pas trop à quoi m'attendre, n'étant jamais allée assister aucune émission que ce soit!! Il y eu une attente un peu trop longue à mon goût, dehors; heureusement qu'il ne faisait pas trop froid! Puis ils nous on fait rentrés, enlevés nos couches superflues (en tout cas, je conseille à tous ceux qui un jour veulent y aller...enlever tout, bon peut-être pas tout, mais n'ayez pas peur d'avoir froid!!!). A ce moment là, la femme qui acceuillait, me dit de me mettre sur le côté et de ne pas suivre les autres dans les escaliers!! Je ne comprenais pas trop surtout que j'étais toute seule, puis finalement d'autres jeunes sont venus compléter ma file et là j'ai compris: Que c'est bien d'être dans la fleur de l'âge!!! Et ouai, on a eu petit traitement de VIP, en passant devant tout le monde, afin de nous mettre juste derrière les chroniqueurs...c'est pas la classe ça!!! Bon y a le revers de la medaille!! Si on ne veux pas que tout ceux qui vont tomber dessus et qui nous connaissent, se moque de tous ce qu'on fait, il faut faire un minimum gaffe à ce qu'on fait, genre ne pas bailler, se gratter ou je ne sais qu'elle petit tracas. En tout cas, c'est assez marrant de voir comme ça, un enregistrement, on comprends mieux, parfois certaines chose, puis on les voit tous, de la manière où ils sont hors des caméras. Puis qu'est-ce qu'il fait chaud, et qu'est-ce qu'on est mal assis sur ces petits coussins!! En tout cas, c'était une bonne expèrience, que j'ai pu en partie continuer, contre toutes attentes, après l'emission et le lendemain à Europe 1...mais je n'en dirais pas plus ici.

    Mais ou suis-je????

     




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  • Bizarre, ou plutot devrais-je dire marrant, de les voir ainsi!! Certains ont pas changé du tout, je trouve, alors que pour d'autres, ont aurait du mal à les reconnaître. On pouvait déja prévoir la future carrière de Mr. Pitt, en tant que beau gosse, celle de chanteur aux allures timides du petit Raphael ou encore la future réputation de Melle Hilton, mais qui aurait parié que le petit Eminem serait devenu rappeur ou le petit Jacques, président de la république?? Je trouve, que la vie ne tient à rien, à un choix, un evènement peut-être, ou même une rencontre seulement, ou alors tout est déja écrit; c'était peut-être écrit que la petite Angelina allait attendre un enfant de Brad!!! Et en voyant ces photos, on peut se rassurer d'une certaine manière, si nos enfants sont laids et moches, et se dire que les choses ne sont pas tout le temps définitives, même si pour la plupart, ils sont déja beaux dès leurs premiers jours!!

     

     

     

     

     

     


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  •  A la la !!! Le Nutella !! Une histoire d'amour qui a commencé depuis longtemps maintenant, qui a eu ses hauts et ses bas, mais qui est toujours aussi forte entre moi et Nutella !! Oui, je crois que ce n'est même plus la peine de mettre un article devant, tellement il est connu aujourd'hui, dans les cœurs des Français et de tant de monde sur terre et dans mon cœur surtout. Cette histoire a, en effet eu des baisses de régimes, un certain écoeurement dû à la routine. Mais après une pause d'une durée minime, dans une relation de ce genre, l'amour est de nouveau au rendez-vous, comme dans le passé ! Un amour simple fait de petits plaisirs tout simples, eux aussi. Une tartine le matin, à quatre heures, une crêpe, un muffin, ou même tout simplement une petite ou même une grosse cuillère, à n'importe quelle heure de la journée, quand l'envie m'en prends !! L'amour fou quoi !! Ce goût unique, cette texture inimitable !! Haaa !! Et le plaisir suprême, je crois, c'est le Ferrero rocher, qui après une enveloppe croquant, nous laisse entrevoir une noisette enveloppée de Nutella !!!

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